vendredi 14 octobre 2011

The Toasters - Agitée (Québec) - 14 octobre 2011



The Toasters est un des groupes majeurs de la scène ska new-yorkaise et américaine. Ce concert aura lieu dans le cadre de leur 30e anniversaire. En prévente sur www.lepointdevente.com Date : Vendredi 14 octobre 2011 Heure : 20h00 Coût : 15$ Lieu : AgitéE (L') 251, rue Dorchester G1K 5Z6 Ville : Québec

Myspace : http://www.myspace.com/toasters

mercredi 1 juin 2011

Expo Stanley Kubrick (Paris - Cinémathèque) 21 mai 2011


L’exposition phare en 2011 est consacrée à Stanley Kubrick.
Selon Libé http://next.liberation.fr/cinema/01012321950-l-odyssee-kubrick

L’exposition qui a ouvert ses portes le 23 mars à la Cinémathèque française a toutes les chances de figurer parmi les blockbusters du printemps parisien. Parce que la balade du côté du parc de Bercy est toujours un excellent moment mais surtout parce que le personnage qui y est décortiqué sous tous les angles fait figure de cinéaste absolu. Stanley Kubrick, disparu en 1999, a laissé derrière lui douze longs métrages, trois courts, une participation à un téléfilm, des tonnes de documentations religieusement conservées par sa veuve Christiane et des milliers de légendes plus ou moins fantaisistes accréditant sa folie créatrice comme son génie obsessionnel, à moins que ce ne soit l’inverse. Sur deux étages de la Cinémathèque, les objets cultes prendront place, parmi lesquels des bouts de décor, des montagnes de documents préparatoires et les costumes des films, aux côtés des inventions techniques du cinéaste (le slitscan, par exemple) et de son travail quand il exerçait son premier métier de photographe, notamment pour le magazine Look.

Outre ce voyage dans l’envers du décor, l’exposition consacrera une large part aux projets inaboutis de Kubrick parmi lesquels le célébrissime Napoléon dont le script original tourne sur le Net depuis quelques années, la tentative d’adaptation de Super-Toys Last All Summer Long, le roman de Brian Aldiss qui donnera A.I. de Spielberg (co-produit par Kubrick) ou encore Aryan Papers, projet de film sur les camps nazis que le réalisateur abandonne après quinze ans de travail en raison de la sortie de la Liste de Schindler en 1993 et parce que les recherches l’éprouvaient profondément.

En parallèle, un cycle de conférences présentera les plus éminents spécialistes du cinéaste (Michel Ciment, Pierre Berthomieu, Philippe Fraisse, Emmanuel Siety, Christian Appelt…) tandis qu’une table ronde réunira Marisa Berenson (dans la distribution de Barry Lyndon), Christiane Kubrick, épouse de Stanley qui travailla sur plusieurs films comme décoratrice (mais aussi comme comédienne, la chanteuse allemande dans la dernière séquence des Sentiers de la gloire, c’est elle), Jan Harlan, frère de Christiane et ancien assistant de Stanley, Nigel Hart, monteur son sur Full Metal Jacket, Ken Adams, décorateur du Docteur Folamour et Hans-Peter Reichmann, le commissaire de l’exposition. Bonus précieux enfin, la retrospective intégrale donnera l’occasion de voir les courts métrages de jeunesse de Kubrick mais, conformément aux dernières volontés de l’auteur, pas Fear and Desire, son premier long métrage de 1953 dont, paraît-il, il avait honte.

  

mercredi 4 mai 2011

James Georgopoulos, Guns of Cinema at The Art District - Santa Monica April 30, 2011

Selon http://theartreserve.com/guns-of-cinema-at-the-art-district

The Lurie Gallery presents James Georgopoulos, Guns of Cinema, opening Saturday, April 28, 2011 from 6-10pm in Santa Monica. The exhibition includes works from the collection of fire arms used in many film and television productions such as the Sopranos, Godfather, and Mr. & Mrs. Smith.

The extremity of the work pulls the image of the weapon into a large scale frame, allowing viewers to feel the threatening power, but are drawn into the sleek and lustrous feel of the make and style of the gun. The identity behind each prop has a futuristic element through the isolated color of the photograph, but holding a past tense history from which it first originally appeared in their own film. From semi-automatic pistols, machine guns, revolvers, and gats of sorts, the world of cinema has created a fascination of things that go “boom”. Georogopoulos creates a standpoint for the viewer to evaluate their sense of fear or seduction, freedom or protection, and power or weakness through one single object.

For more information on James Georgopoulos go to his website or visit the Lurie Gallery. The Art District, A Lurie Gallery is located 2801 Main street Santa Monica, Ca 90405





Reagan Presidential Library (30 avril 2011)

http://www.reaganfoundation.org/
 

 

Address:
40 Presidential Drive
Simi Valley, CA. 93065

dimanche 10 avril 2011

Musée Los Angeles - Grammy Museum





Musées Los Angeles - 9 avril 2011 - MOCA

MOCA - The Museum of Contemporary Art

Exposition de William Leavitt: Theater Objects
selon le Los Angeles Times
http://latimesblogs.latimes.com/culturemonster/2011/03/art-review-william-leavitt-theater-objects-at-the-museum-of-contemporary-art.html

Oeuvres intéressantes dans le musée

Jasper Johns, Map, 1962


Wallace Berman, Verifax Collage, 1967
Wallace Berman at Frank Elbaz

Wallace Berman, Faceless Faces, 1963


Kenneth Price, Red, 1962


Edward Ruscha, Picture H House, 1988

mercredi 16 février 2011

Danse - Québec - Circa

Directement de Brisbane en Australie, la compagnie CIRCA effectue sa première visite à Québec, après une tournée qui l’aura menée en Belgique, en Allemagne, en Angleterre et aux Pays-Bas. Mélangeant habilement la danse et le cirque, son œuvre éponyme, créée en 2009, est un amalgame des trois œuvres les plus applaudies de la compagnie à ce jour. Plus que jamais, CIRCA réinvente le cirque-danse, explorant le mouvement dans ce qu’il a de plus aventureux. Cinq interprètes multiplient les acrobaties spectaculaires d’une grande complexité, où la précision et le sens du rythme font foi de tout. L’œuvre est appuyée par une solide trame musicale réunissant Sigur Rós, Leonard Cohen, Jacques Brel, Cake, Gavin Bryars, Aphex Twin et Radiohead. Un spectacle hautement poétique et sensuel.

« Moment fort du plus récent Festival d’Édimbourg, cette compagnie australienne est acclamée à travers le monde, tant par la critique que par le public. […] CIRCA est une ode à la vie, la création d’une poésie en mouvement. » (Irish Times, Irlande)

CIRCA
Fondée en 1987 sous le nom de Rock’n’Roll Circus, cette compagnie que l’on appelle CIRCA depuis 2004 a une vision bien à elle du cirque, le percevant comme une forme d’art contemporaine remplie de défis. CIRCA est composée d'interprètes des plus polyvalents travaillant sans relâche à explorer et à repousser les limites du cirque. Chaque année, CIRCA se produit devant plus de 50 000 personnes, aussi bien en Australie qu’à l’étranger, en plus d’offrir des programmes de formation sur le cirque aux personnes âgées de 3 à 63 ans, qu’elles soient débutantes ou professionnelles.

CIRCA

Circa
Les 14, 15 et 16 février 2011 à 20 h

Directeur artistique : Yaron Lifschitz

Selon le Soleil

(Québec) C'est fou ce que l'on peut faire avec un corps humain. On peut l'étreindre, le pousser, le tordre, mais aussi l'escalader, le lancer dans les airs, le faire tournoyer et le rattraper à quelques centimètres du sol. Les interprètes de la compagnie australienne Circa nous montrent l'être humain dans toute sa force, mais aussi dans toute sa tendresse, dans un spectacle qui, bien qu'un peu inégal, impressionne.
Du cirque, Circa a pris les sauts périlleux, les numéros aériens, les culbutes et l'art de nous couper le souffle. De la danse, la compagnie a pris l'expressivité et les mouvements fluides, mais surtout les cassures du ballet moderne et les instants suspendus.
Le résultat, surtout lors des premières scènes de groupe, peut être fulgurant. On a l'impression que la danse devrait toujours être ainsi : une suite de chorégraphies aériennes où les interprètes n'hésitent pas à grimper les uns sur les autres pour défier les lois de la gravité.
Lors des numéros solos qui touchent aux disciplines circassiennes plus établies, on perd un peu cet élan. Lewis West exécute un brillant numéro de sangles aériennes, où il se laisse plusieurs fois tomber jusqu'au plancher com­me s'il faisait du bungee, et Jesse Scott passe de longues secondes en équilibre sur la tête sur une barre de trapèze, mais ces prouesses n'arrivent pas à susciter des émotions aussi troublantes que les saisissants agencements de chutes, de culbutes et de portées, conçus avec brio par Yaron Lifschitz.
L'agencement des morceaux éclectiques de la bande sonore (des pièces de Sigur Rós, Leonard Cohen, Cake, Gavin Bryars, Aphex Twin, Radiohead et Jacques Brel) permet de jouer sur les tons. On a droit à quelques clins d'oeil comiques après les moments de tension. En général, on aime bien, sauf lorsqu'on oublie le mouvement pour verser dans le cabotinage.
On s'attendrit devant la moue ingénue de Freya Edney, qui réalise un numéro de cerceaux très réussi sur un air de Brel, et devant les mimiques enfantines de Jesse Scott lorsqu'il tente de traverser un minuscule cercle. Mais on aime surtout le contraste entre les moments où les danseurs-acrobates se contorsionnent, cloués au sol, ayant perdu le contrôle de leur corps, et les moments de haute voltige.
En sortant de la salle, on a le coeur étourdi, mais toujours bien accroché. On attend impatiemment un spectacle de Circa avec une proposition plus appuyée; l'étape de l'initiation est passée.
Circa est à nouveau présenté ce soir et demain à 20h à la salle Octave-Crémazie du Grand Théâ­tre de Québec.